Les conférences d'Edimbourg sur la Science Mentale - Thomas Troward & Christelle Pujol

Les conférences d'Edimbourg sur la Science Mentale

von Thomas Troward & Christelle Pujol

  • Veröffentlichungsdatum: 2021-07-19
  • Genre: Spiritualität

Beschreibung

Thomas Troward était un membre éminent et influent de l'Alliance internationale de la Nouvelle Pensée. Il est l'un des pères fondateurs de ce qui est aujourd'hui communément appelé la Pensée Positive. Il s'est plongé dans l'étude des livres sacrés et des religions orientales, qui ont eu une forte influence sur ses idées spirituelles. Génie absolu, ses écrits sont fascinants et intemporels. Le philosophe William James a déclaré : ce texte de Troward est "de loin le meilleur exposé de philosophie que j'ai rencontré, magnifique dans la clarté soutenue de sa pensée et de son style, un exposé vraiment classique".
Cet ouvrage est un aperçu phénoménal du fonctionnement interne du corps, de l'âme et de l’esprit. Il aborde de nombreux thèmes dont les grandes lois de la nature : la loi de croissance,  la loi de causalité, la loi de l’attraction… Troward s’attarde également sur le pouvoir mental, sur les phénomènes de guérison, sur la visualisation créatrice, sur l’intuition et le pouvoir incommensurable du subconscient. Cette incroyable lecture requiert une attention totale, car chaque phrase est remplie de pensées profondes et critiques, de liens logiques et vous délivrera une sagesse ultime.

Extrait:
Au début d’un cours sur la Science Mentale, il est quelque peu difficile pour le conférencier de choisir la meilleure façon d’aborder le sujet. On peut l’aborder sous de nombreux angles, chacun présentant des avantages particuliers ; mais, après mûre réflexion, il me semble que, pour les besoins du présent cours, on ne saurait choisir de meilleur point de départ que la relation entre l’Esprit et la Matière. Je choisis ce point de départ parce que la distinction — ou ce que nous croyons être une telle distinction — entre les deux est une distinction qui nous est si familière que je peux supposer sans risque qu’elle est reconnue par tout le monde ; et je peux, par conséquent, énoncer immédiatement cette distinction en utilisant les adjectifs que nous utilisons habituellement pour exprimer l’opposition naturelle entre les deux — esprit vivant et matière morte. Ces termes expriment avec suffisamment d’exactitude notre impression actuelle de l’opposition entre l’esprit et la matière, et, considérée seulement au point de vue des apparences extérieures, cette impression est sans doute correcte. Le consensus général de l’humanité a raison de se fier à l’évidence de nos sens, et tout système qui nous dit que nous ne devons pas le faire n’obtiendra jamais une assise permanente dans une communauté saine et raisonnable. Il n’y a rien de mal dans le témoignage transmis à un esprit sain par les sens d’un corps sain, mais le point où l’erreur s’insinue est lorsque nous en venons à juger de la signification de ce témoignage.